Quand on pense à l’activité-sœur de l’interprétariat, la traduction, on ne l’associe pas non plus à l’interprétation. La question qu’on pose plutôt est celle de la fidélité de la traduction à l’original. C’est-à-dire que la question de la fidélité empêche, ou en tout cas devrait limiter la volonté ou l’intention de l’interprétation. Le traducteur, tout comme l’interprète, ne serait pas maître de sa libre interprétation.
En quoi consiste l’interprétation dans l’interprétariat ? L’interprétation est une traduction d’un contenu parlé (d’où l’interprétation simultanée ou consécu...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)