Après le temps où Roger Planchon revendiquait une « écriture scénique », où Patrice Chéreau transformait une brève pièce de Marivaux, La Dispute, en un spectacle magistral, où Antoine Vitez rendait son nom indissociable de sa Phèdre ou Klaus Michael Grüber de sa Bérénice, sont venues la dénonciation d’une supposée dictature, la célébration de la mise en scène invisible, de la simple rencontre de l’acteur et du texte sur les planches, et plus récemment l’affirmation des « écrivains de plateau ». Face à cette dernière tendance, qui donne toute sa place au travail...
Quel "retour aux classiques" ?
Article publié dans le n°1023 (01 oct. 2010) de Quinzaines
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