L’église catholique
Nous étions fauchés : l’été 1936, mon frère avait eu, par un copain qui allait là-bas, la possibilité qu’on aille tous les deux passer un mois dans ce camp où on vivait sous des tentes, et qui était tenu par un prêtre qui s’appelait le père Dieuzaide (1). C’était un homme tout à fait remarquable, le seul curé que j’ai connu de remarquable – si j’en étais resté à mon expérience de Saint-Charles de Monceau, j’en aurais vomi purement et simplement tout ce qui de près ou de loin était de la prêtrise. Saint-Charles de Monceau où j’avais suivi ...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)