A lire aussi

Trois écrivains venus d'Egypte

Si l’on se contente des quelques informations diffusées dans les médias, on ne peut rien comprendre à la tragédie que vit en ce moment l’Égypte. Restent la fiction et cette littérature magnifique qui nous parvient d'un pays partagé entre la misère et la répression policière et militaire.
Sonallah Ibrahim
Le Gel (Actes Sud)
Mohammed El-Bisatie
Un dernier verre de thé et autres nouvelles (Actes Sud)
Naguib Mahfouz
Les noces du palais (Sindbad-Actes Sud)

Alors même « qu’aucune manifestation, même pacifique, n’est plus tolérée », comme l’écrit le journal cairote Al-Shorouk, après la mort de la jeune poétesse Shaima al-Sabbagh, venue manifester pacifiquement place Tahrir pour commémorer la révolution de janvier 2011 et tuée par les forces de police, les romans et les nouvelles que les éditions Actes Sud viennent de publier donnent un sentiment de grande liberté. Mais cette liberté est celle de spectateurs, et non d’acteurs de leur propre vie.


L’impuissance est bien le thème central du dernier roman, part...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi