Cette œuvre curieuse, comprenant quarante « petites proses » inspirées en grande partie de pièces musicales africaines (« Rujindiri »), indiennes (« Badi Motibai »), populaires (« La ballade de Mosta »), de textes rencontrés dans des cultures proches (« Le roi Marc ») ou plus lointaines (« Sous tant de cieux j’ai respiré tant de roses ! Hommage à Saadi »), relève de la tradition classique, celle qui fait réécrire à La Fontaine les fables d’Ésope. Joël Roussiez ne déclare-t-il pas dans le texte liminaire : « J’ai emprunt...
La tentation de l'anonymat
Article publié dans le n°1123 (01 mars 2015) de Quinzaines
Temps divers ou le jardin varié des jours
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