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Un policier d'autrefois

En mettant fin en 1827 aux fonctions de Vidocq à la tête d’une « brigade de sûreté » dont l’origine officieuse remontait à 1811, le préfet Delaveau était loin d’imaginer que cette décision allait être à l’origine d’un genre littéraire nouveau appelé à un succès durable : les mémoires de policiers, qui aujourd’hui encore connaissent un succès éditorial respectable si on en juge par les ouvrages des Borniche, Van Loc, Broussard et autres Le Taillanter.
Ernest Raynaud
La vie intime des commissariats

Le genre a fleuri et s’est développé à la fin du XIXe siècle dans la mouvance du succès du « detective novel » initié par Gaboriau et popularisé par Conan Doyle. Contemporain de Macé, Goron, chefs de la Sûreté qui ont, après Vidocq et Canler, laissé une œuvre prolifique, Ernest Raynaud n’est pas un limier à proprement parler.


Entré à la Préfecture de police en 1886 comme secrétaire suppléant de commissariat au quartier du Val-de-Grâce, il devient successivement secrétaire de commissariat – ce sont alors de véritables commissaires adjoints – porte de la Chapel...

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