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Journal de l’année du désastre, de Kressmann Taylor, s’inscrit dans la tradition du reportage littéraire, un genre entre littérature et journalisme où se sont illustrés nombre d’auteurs américains, d’Hemingway à Mailer ou de Wolfe à Wallace. Dans cette courte chronique, l’auteure d’Inconnu à cette adresse fait le récit de la crue qui dévasta Florence en 1966… Un témoignage plein d’amour et de foi en l’avenir.    
Kressmann Taylor
Journal de l'année du désastre

Il est difficile de concevoir la stupeur qui a saisi l’opinion internationale le 4 novembre 1966, devant les images de la terrible crue de l’Arno. Certes, en quelque endroit qu’elles se produisent, les catastrophes naturelles émeuvent – en premier lieu parce qu’elles nous rappellent la vulnérabilité atavique de l’être humain. Cependant, le rôle essentiel que la cité des Médicis a joué pendant le Quattrocento lui confère un statut particulier aux yeux des Occidentaux, qui, pour la plupart, se sont émus de voir le berceau de la Renaissance – et donc pour partie celui de leur propre culture...

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