Jean-Michel Delacomptée

Le premier de nos écrivains

Ces auteurs ne nous parlent plus, brouillonnent les Modernes - ou peu s’en faut. La paresse intellectuelle agit comme un glyphosate : « Nous qui nous croyons à la pointe du progrès baignons dans un...

« On écrit toujours pour quelqu'un »

L'enfance, l'indicible, le deuil infini, la perte d’une part de la langue, de son épaisseur, la désuétude des formes rigoureuses et le désordre d’un temps profondément angoissé, le passage obstiné ...

Portraits de Saint-Simon

Ils apprécieront l’importance accordée par le duc à sa femme, Marie-Gabrielle de Durfort de Lorges, épousée le 8 avril 1695 – jour que le mémorialiste désigne, dans un rare moment de confidence, co...

Angoisse de la langue

« Il y a longtemps qu’on ne lit plus Bossuet », celui dont Claudel disait qu’il était « le grand maître de la prose française ». Néanmoins, il n’a pas proprement disparu, et il demeure comme une om...