« Il y a longtemps qu’on ne lit plus Bossuet », celui dont Claudel disait qu’il était « le grand maître de la prose française ». Néanmoins, il n’a pas proprement disparu, et il demeure comme une ombre sur la littérature, « peu lu, plus vivant que jamais ». Le paradoxe structure le livre, manière de colonne vertébrale d’un ouvrage consacré à « un immense inconnu ». À la fois cheminement de lecture, questionnement sur une vie, sur une œuvre animée, Langue morte s’attache à la vie d’un grand prosateur et de l’un de ses l...
Angoisse de la langue
Article publié dans le n°1002 (01 nov. 2009) de Quinzaines
Langue morte, Bossuet
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