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A la recherche de Lulu

Directeur du Théâtre national de la Colline, Stéphane Braunschweig met en scène Lulu, une tragédie-monstre de Frank Wedekind. Sous ce titre il fait découvrir la version primitive de la pièce datée de 1894. Mais le spectacle déçoit quelque peu l’attente toujours suscitée par ce prénom aux résonances mythiques, à moins qu’il ne trahisse certaines faiblesses de l’œuvre.
Frank Wedeking
Lulu, une tragédie monstre

Lulu est le personnage éponyme du film de Pabst et de l’opéra d’Alban Berg, qui lui ont conféré une aura de légende. Mais il ne donne son nom qu’à l’adaptation, par Wedekind à partir de 1913, de trois pièces précédentes, qui en faisaient leur protagoniste. En 1894 la « tragédie-monstre » s’appelle La Boîte de Pandore, référence à la créature mythologique façonnée dans la glaise, porteuse du malheur enfermé dans sa jarre, comme au sexe féminin en argot alle­mand. Elle est ensuite divisée en deux textes autonomes, mais conçus dans une continuité : L’Esprit de la terre et ...

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