Ces lettres me font mesurer, après coup, à quel point la rencontre du philosophe a été paradoxalement décisive pour moi, sur deux ou trois points. Non que je puisse prétendre avoir été le familier ou a fortiori le disciple du penseur marxiste. J’ai simplement fait partie, dans les années 70-74, d’un petit groupe d’élèves philosophes de l’École auprès de qui il a exercé la fonction de caïman, sorte de tutorat assez flou qui nous laissait libres de nos lectures et de nos options, sinon de nos travaux, et donc entièrement responsables de notre succès ou de notre échec éventuel à l’...
Althusser et son amour
Article publié dans le n°1042 (16 juil. 2011) de Quinzaines
Lettres à Hélène
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)