Carl R. Bolduc, spinoziste et professeur de philosophie à Montréal, le sait, et il prend le pari de faire mentir ces préjugés défavorables.
En quel honneur ? Ou, si l’on préfère, sur quels critères se fonde-t-il pour soutenir une thèse aussi improbable ? Prudent, parfois audacieux mais pas téméraire, l’auteur entend par-dessus tout jeter des ponts entre le Traité théologico-politique de Spinoza et La Religion dans les limites de la simple raison de Kant. Là se trouveraient les indices d’une réelle connivence, d’un accord tacite sur trois problèmes particul...
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