Dire l’écoute musicale

Article publié dans le n°1196 (16 juin 2018) de Quinzaines

Bien que les écrits sur la musique soient nombreux, parler de musique n’est pas aisé et impose une question liminaire : au-delà du commentaire toujours menacé par le bavardage indiscret, l’écrit sur la musique peut-il apporter au fait musical quelque chose de l’ordre de l’élucidation ?

Ce que tout être humain qu’émeut la musique, pour qui la musique est vivifiante, peut en dire relève de la platitude.

George Steiner, Réelles présences.

George Steiner évoque parfois la « mince anthologie^{^[1]} » de ceux qui ont su parler de musique : quelques mots de Platon, saint Augustin, Boèce parfois, Rousseau, Schopenhauer, Kierkegaard, Nietzsche, Adorno. Ces écrivains (écrivain...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique

La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Sur le même sujet

Lecture de psychanalyste : l’écoute de l’écoute

Dire ou ne pas dire, telle est la question

Lecture musicale d'Ingeborg Bachmann

La Quinzaine écoute les grands musiciens de notre temps

A lire aussi

Mettre des mots sur la musique. Entretien avec Sophie Debouverie

Poésie et musique : l’interminable fusion

Pourquoi j’écris sur la musique

Variations contemporaines

« Derrière les visages »

Articles du même critique

Dire l’écoute musicale

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Vous aimerez aussi

Commentaires (identifiez-vous pour commenter)