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Pourquoi j’écris sur la musique

Plus que les livres sur la littérature ou sur la peinture, les ouvrages sur la musique sont régulièrement considérés comme suspects. La principale raison en tient à une longue tradition philosophique faisant de la musique l’autre du langage.

Nombreux sont les écrivains qui ont pris acte de la quasi-impossibilité ontologique à parler de musique, à l’instar de Barthes : « Il est […] très difficile de parler de la musique. Beaucoup d’écrivains ont bien parlé de la peinture ; aucun, je crois, n’a bien parlé de la musique, pas même Proust[1]. » La radicalité de cette position rejoint celle de Jankélévitch, qui n’a paradoxalement cessé d’écrire sur le plus insaisissable des arts : « Et puisqu’à notre tour nous prétendons parler de l’indic...

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