«Des vies mais telles que notre mémoire les invente, que notre imagination les recrée, qu’une passion les anime », des récits subjectifs, vibrant hommage à la langue « assez souple pour se laisser indéfiniment renouveler, insensiblement séduire, détourner du droit chemin », des nouvelles éloignées des Vies imaginaires de Marcel Schwob, et pourtant : entre le portrait d’un autre et un autoportrait, parler « davantage à travers soi que de soi ». Au préalable, chercher à saisir l’état intermédiaire, tel entrelacs indistinct, ...
Entre l'espace intérieur et le monde
Article publié dans le n°1131 (01 juil. 2015) de Quinzaines
Oeuvres littéraires
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