«On l’appelle l’amour / le circuit, le court, le très court / circuit intérieur dans lequel nous brûlons. » Constituant l’épigraphe, les vers du poète mexicain Efrain Huerta placent Circuit intérieur, de l’écrivain et journaliste Francisco Goldman, sous l’égide d’une complexité élaborée : à la fois « chronique » avérée d’une descente aux enfers décrite en détail, parfois avec humour – qu’elle soit alcoolisée, violente ou non –, et parcours dans le chaos multiple, tentaculaire et urbain de la mégapole Mexico.
Tumultueuse, rebelle, harassante, ...
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