Les deux textes sont accompagnés de leurs versions sonores, pour voix, musiques et sons, qui pourront elles-mêmes évoquer, à l’écoute, les performances correspondantes, intégrant projections et mise en espace. Car Jérôme Game procède ainsi depuis plusieurs années, multipliant les collaborations avec des artistes, musiciens, metteurs en scène ou chorégraphes, inscrivant son texte dans la dépendance féconde à l’égard d’autres formes, pratiques et supports, dont il escompte un effet retour sur l’écriture – un devenir de ce qui est au départ poésie (sonore, objectiviste, textualiste, pour ci...
Extension du domaine de la litt'
Article publié dans le n°1112 (16 sept. 2014) de Quinzaines
DQ/HK
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