Avec Irruption de la Manche Jacques Darras entame la conclusion de cette singulière épopée de La Maye, ce petit fleuve picard de moins de quarante kilomètres, qu’il célèbre depuis plus de vingt ans. Il en profite pour se lancer dans une confrontation verbale autant que charnelle avec lui-même, avec son âge, avec le temps. Le temps comme la mer, toujours recommencé.
« Nous n’en aurons jamais fini avec la mer/nous n’en aurons jamais fini/nous n’en aurons jamais fini avec l’inlassable mouvement de la mer/nous n’en aurons jamais fini/nous n’en aurons jamais fini de ...
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