J’ai été longtemps le compagnon de Vincent Bounoure au sein du « groupe surréaliste » qui se réunissait chaque soir autour d’André Breton, au Café, comme il se disait. En fait, lui et moi rejoignîmes cette assemblée la même année (1955), pour la quitter en même temps (1969), après l’autodissolution du groupe, moins de trois ans après la mort de Breton. Malgré quelques divergences de vue sur le comportement que nous devions dès lors adopter, je lui ai conservé toute mon estime pour avoir su résister à l’obscène danse du ventre de Jean Schuster qui, pour « entrer dans l’Histoire »...
L'interminable jour d'après
Article publié dans le n°1036 (16 avril 2011) de Quinzaines
Le 31 juin
(Urdla)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)