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 Pour être en mesure d’écrire sur ce livre, il va me falloir également parler de moi. Le lecteur voudra bien m’en absoudre quand il saura de quoi il s’agit ; n’y voyez nul narcissisme, ni coquetterie d’auteur, la chose est bien plus grave, bien plus définitive, puisque c’est la disparition de l’être aimé qui est ici en cause.
Vincent Bounoure
Le 31 juin
(Urdla)

J’ai été longtemps le compagnon de Vincent Bounoure au sein du « groupe surréaliste » qui se réunissait chaque soir autour d’André Breton, au Café, comme il se disait. En fait, lui et moi rejoignîmes cette assemblée la même année (1955), pour la quitter en même temps (1969), après l’autodissolution du groupe, moins de trois ans après la mort de Breton. Malgré quelques divergences de vue sur le comportement que nous devions dès lors adopter, je lui ai conservé toute mon estime pour avoir su résister à l’obscène danse du ventre de Jean Schuster qui, pour « entrer dans l’Histoire »...

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