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La poésie entre la voix et l'écriture

Que peuvent avoir de commun Homère, les poètes touaregs, les troubadours et leurs cousins serbo-croates, persans ou arabes de l’ante-Islam ? L’un chante et l’autre pas ; l’un n’a jamais écrit, et l’autre se souvient d’un autre qui chantait ; l’un dit se souvenir et en réalité improvise ; l’un écrit pour qu’un autre chante : c’est une grande leçon de relativisme que Dominique Casajus nous propose dans cette enquête menée au fil des ans.
Dominique Casajus
L'aède et le troubadour. Essai sur la tradition orale
(CNRS)

Nous proposant une réunion de ses articles, l’auteur évite la synthèse pesante et impossible, et esquisse un parcours heureux où les thèmes et les aspects s’entrecroisent de loin en loin, laissant nombre de questions ouvertes, tant la question est vertigineuse.


D’abord le plus lointain, le plus abstrait pour un ethnologue, Homère, l’aède (« le chanteur »), l’aveugle, celui qui n’écrivait pas, et dont l’existence a fait couler tellement d’encre. L’auteur va sur les traces des philologues « homérisants », deux Américains, Milman Parry, auteur d’une thèse soutenue en 1928 à Paris, <...

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