« Comment parvenir à dire l’ineffable, à faire écouter ce qui ne s’entend pas, à prouver que l’essentiel est invisible aux yeux ? » : ainsi s’exprime Régis Boyer dans le numéro spécial de la revue Plein Chant (2) consacré à Tarjei Vesaas (1897-1970), qu’il a dirigé. Claude Régy ne pouvait que ressentir des affinités avec un écrivain, dont l’œuvre est interrogée en ces termes par son meilleur spécialiste. Il retrouvait son attirance pour le monde nordique, pour un univers proche de celui de Jon Fosse : l’auteur norvégien, dont il a déjà mis en scène plusieurs textes, dit avoir ét...
Le Festival d'Automne : dernier acte
Article publié dans le n°1029 (01 janv. 2011) de Quinzaines
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