Cette corrélation est un a priori dans la mesure où la phénoménologie remet en question l’indépendance qui existerait entre la chose et son apparition. Sur le versant objectif, le fait que la chose apparaisse est constitutif de la chose, et sur celui du sujet la conscience ne peut être qu’ouverture à cette apparition.
Renaud Barbaras élargit cette corrélation husserlienne à celle du sujet et du monde – et non plus de l’étant seulement – pour interroger les conditions de possibilité d’un tel a priori. Ainsi, l’entreprise de l’auteur remonte en deçà de la phénoménologi...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)