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Le quotidien du psychanalyste

L’idée date de 1969, juste après la naissance de Scilicet, la revue de l’École freudienne de Paris, lancée par Lacan, qui durera six ou sept numéros. Mais c’est entre 1973 et 1978 qu’elle se réalise sous la forme d’une revue intitulée L’Ordinaire du psychanalyste, qui publia douze numéros.
Francis Hofstein
Un psychanalyste ordinaire
(Félin)

L’idée ? Publier une revue faite de textes anonymes (mais plus radicalement que dans Scilicet, où Lacan signait les siens, faisant de tous les autres ses surgeons), c’est-à-dire dont l’accord passé entre les « écrivants » était qu’ils se dépouillaient du statut bien connu d’« auteur » en donnant leurs pages d’écriture à la revue dont ils ignoraient pour la plupart quels en étaient les assembleurs. Ces derniers étaient deux, réunis sous le pseudonyme à tiroir de « Sigismond ». Succès considérable, les textes affluent, tant des analystes que des analysants, Lacan approuve et suit ...

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