L’idée ? Publier une revue faite de textes anonymes (mais plus radicalement que dans Scilicet, où Lacan signait les siens, faisant de tous les autres ses surgeons), c’est-à-dire dont l’accord passé entre les « écrivants » était qu’ils se dépouillaient du statut bien connu d’« auteur » en donnant leurs pages d’écriture à la revue dont ils ignoraient pour la plupart quels en étaient les assembleurs. Ces derniers étaient deux, réunis sous le pseudonyme à tiroir de « Sigismond ». Succès considérable, les textes affluent, tant des analystes que des analysants, Lacan approuve et suit ...
Le quotidien du psychanalyste
Article publié dans le n°1134 (01 sept. 2015) de Quinzaines
Un psychanalyste ordinaire
(Félin)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)