Sur le même sujet

Articles du même critique

Malaparte : aboyer avec les chiens

En 1947, après quatorze ans d’absence, Curzio Malaparte est de retour à Paris. Il y écrit Journal d’un étranger à Paris, qui sera traduit et édité après sa mort, d’abord en Italie (éd. E. Falqui, trad. G. Argentieri, Vallecchi, 1966), ensuite en France (trad. G. Cabrini, éd. La Table ronde, 2014, rééd. 2018).
Curzio Malaparte
Journal d'un étranger à Paris

Ce texte, écrit tantôt en italien tantôt en français, témoigne de lattachement de l’écrivain à son pays natal et à la France. En 1914, âgé de seize ans, Malaparte (il porte alors son vrai nom, Curt Erich Suckert) quitte la Toscane et ses études classiques pour rejoindre la Légion garibaldienne. Dans ce pays qui lui « [tient] lieu de mère », il retournera de nombreuses fois pendant et après la guerre. En 1947, séjournant à Paris, il jouit déjà dune grande notoriété dans la vie intellectuelle italienne dont il incarne les contradictions : son juvénile soutien au...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi