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Nous ne sommes pas des singes

Au printemps, dans le cerveau du canari, des neurones tout neufs apparaissent au niveau de l’hippocampe, qui est le siège de la mémoire. Cette neurogenèse chez l’animal adulte lui permet d’apprendre de nouvelles ritournelles.

Cette découverte surprenante fut faite dans les années 1980. Plus récemment, on a montré que la neurogenèse adulte existe aussi chez les souris, et même chez l’homme, là aussi au niveau de l’hippocampe. Elle n’est qu’une des manifestations de la plasticité du cerveau : sa capacité de se modifier, un des facteurs qui relient le vécu individuel à l’évolution de l’espèce. Comment englober nos connaissances sur le vivant dans une théorie unique qui intégrerait nos connaissances de génétique, du développement des individus et de l’évolution des espèces ? C’est à cette quest...

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