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Oncle Vania, hier et aujourd'hui

Oncle Vania d’Anton Tchekhov, par Alain Françon aux Amandiers de Nanterre, par Christian Benedetti au Théâtre-Studio d’Alfortville : la coïncidence de ces programmations semble conduire à un parallèle obligé ; mais avec deux spectacles radicalement opposés et pleinement accomplis, à partir de la même traduction de Françoise Morvan et André Markowicz (1), elle permet de jouir de la mise en scène comme art de la variation.

ANTON TCHEKHOV
ONCLE VANIA
Mise en scène d’Alain Françon
Théâtre de Nanterre-Amandiers
Jusqu’au 14 avril
Tournée jusqu’au 29 mai 2012

 

Mise en scène de Christian Benedetti
Théâtre-Studio d’Alfortville
Jusqu’au 7 avril
Reprise la saison 2012-2013

En ouverture du quatrième et dernier acte d’Oncle Vania, des didascalies décrivent une grande pièce, à la fois chambre et bureau du personnage éponyme. Elles indiquent la présence d’une carte de l’Afrique « qui ne sert manifestement à rien », qui va pourtant inspirer au médecin Astrov une de ses dernières paroles, avant son départ, associée à des considérations prosaïques sur l’arrêt nécessaire chez le forgeron. Dans le spectacle d’Alain Françon, cette Afrique, au format d’un atlas, se déploie sur le mur du fond, près d’une fenêtre qui laisse voir le foin amoncelé dans la grange...

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