Les deux éditeurs Agnès Derail et Bruno Monfort y reviennent : l’œuvre poétique n’est pas l’appendice créatif d’un romancier maudit auquel nulle œuvre postérieure n’avait permis de retrouver de son vivant les faveurs du public, gagnées par la publication des premiers romans de voyage qu’étaient Typee (1846) et Omoo (1847). Notre siècle associe, et les suivants associeront sans doute encore longtemps, le nom de Melville à la puissance magnétique et métaphysique de Moby Dick, et dans une moindre mesure à la sulfureuse intrigue gothique de Pierre ou les Ambigu...
Poèmes d'une mort annoncée
Article publié dans le n°1018 (01 juil. 2010) de Quinzaines
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