Les lignes qui précèdent, quoique vraies en ce qui me concerne, sont un quasi et volontaire recopiage du début des Lieux d’une ruse de Georges Perec. Qu’on lise mon texte comme une imitation et une citation de cet écrivain, c’est tout ce que je demande. Pour être clair, j’userai dorénavant de l’italique.
Quinze mois se sont écoulés au cours desquels j’ai recommencé peut-être cinquante fois les premières lignes d’un texte qui, au bout de quelques phrases (en gros, celles que je viens d’écrire), s’enlisait immanquablement dans des artifices rhétoriques de plus en plus ...
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