Articles du même critique

Robert Walser voisin de Clarice Lispector

S’y rendre fut une expédition. Partie de Natal, quand à Casablanca manque l’avion pour Rome d’où prendre le train pour Berne, on la dérouta vers Le Caire. De 1946 à 1949, de vingt-cinq à vingt-huit ans, Clarice Lispector allait vivre à Berne avec son mari diplomate. 360° de montagnes, un « cimetière de sensations. » Clarice déteste, tout comme Dostoïevski trouva Genève « hémorroïdale ».


Le couple s’installe dans la vieille ville. Cette vieille ville de Berne ressemble, selon Robert Walser, à une seule et grande demeure toute en couloirs et en arcades. Au&n...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine