A lire aussi

Sonates du temps qui passe

Avec humour et fantaisie, Emmanuel Venet déboulonne en douceur les figures tutélaires de sa petite enfance et surfe sur un imaginaire familial haut en couleur. Un exercice de style des plus réussis. Un vrai bonheur de lecture.
Emmanuel Venet
La lumière, l'encre et l'usure du mobilier

Dans la catégorie autofiction, Emmanuel Venet botte volontiers en touche. Il n’est jamais là où l’on croit. Il ne se revendique d’aucune école ni d’aucune chapelle, hormis celle de Freud à laquelle il emprunte le titre de son nouvel opus. La lumière, l’encre et l’usure du mobilier, ce titre à rallonge serait en effet la réplique que Sigmund Freund aurait prononcée à Teschen, dans l’une de ses brasseries préférées. Entre deux tasses de café et un délicieux gâteau savouré à point nommé, il écrit à sa fiancée, Martha Bernays, qu’il doit rejoindre à Hambourg, que l’auberge en questi...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine