Le camp-ghetto de Theresienstadt et le camp des familles de Birkenau avaient été conçus par les nazis pour tromper l’opinion internationale ; ils devaient fournir, comme l’écrit Otto Dov Kulka dans Paysages de la Métropole de la Mort, « la preuve vivante que les informations sur l’anéantissement des Juifs déportés à l’Est étaient fausses ». Rien d’autre, évidemment, qu’une cynique fabrication destinée à des personnages officiels souvent trop heureux de se laisser duper (tel l’accablant Rossel, représentant suisse du CICR (1), longuement interviewé en 1997 par Lanz...
"Un couteau pour couper ma peur"
Article publié dans le n°1083 (01 mai 2013) de Quinzaines
Le mur de Lisa Pomnenka
(L'Arachnéen)
Le leurre et l'espoir. De Theresienstadt au block des enfants de Birkenau
(L'Arachnéen)
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