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Nos vieilles têtes sont traversées de choses disparates : des bribes de chansons, des bouts de poèmes ; au détour d’un rêve, le visage d’un ami d’enfance pas revu depuis trente ans ; une expression qu’employait notre mère ou le professeur d’allemand en cinquième et qui nous retombe soudain dessus, jaillie d’on ne sait quel corridor du temps ; le nom de notre chien mort quand on avait 9 ans ; des émois sexuels dont on ne parlera jamais à personne ; une très ancienne humiliation qu’on avait cru être enfouie à jamais sous nos fanfaronnades ; la pochette avec toiles d’araignée du premier Uri...

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