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Assez de malédictions !

Dernier maillon de l’œuvre proliférante de Joyce Carol Oates, l’épais roman "Maudits" pourrait être salué comme la prouesse d’une créativité foisonnante et de l’évident savoir-faire d’une plume qui court tous azimuts. Mais quelle épreuve pour le lecteur !

Sans risquer le crime de lèse-majesté face à un écrivain splendide, maintes fois couronné, professeur à Princeton depuis plus de trente ans, peut-on dire que Joyce Carol Oates écrit trop ? Cinquante-cinq livres en cinquante ans, dont une quarantaine de romans, des nouvelles, des essais, des poèmes, des critiques, des pièces de théâtre, cinquante-cinq ou soixante-dix si l’on inclut des textes épars, des livres pour enfants et des romans policiers écrits sous les pseudonymes de Lauren Kelly ou de Rosamond Smith. Qu’importe, sa plume court avec vitalité, recyclant les genres en goûtant...

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