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Vendanges tardives

Pisteur immobile, Jeremy Chambers écrit un roman étonnant, presque envoûtant, autour d’un vieil homme qui vendange et qui glane des instants de labeur et de rêve, qui fait jouer la mémoire avec ses pics de réminiscence, ses souvenirs épisodiques, dans une prose versatile aux émotions rentrées. Du raffinement sur du brut, une voix australienne qui porte loin.
Jeremy Chambers
Le grand ordinaire

Au lieu du plateau vide de Beckett et de l’arbre dénudé, des rangs de vigne et quelques touffes de rosiers. Au lieu de nulle part et de nulle époque, la fin des années 1980 dans les environs de Victoria, au sud de l’Australie, près du grand désert. Mais les mêmes dialogues, brefs, saccadés qui répètent les faits de la terre et des hommes, les mots d’ouvriers agricoles aux vies sommaires et dures à la peine. Ces bribes brutes collent à la mémoire de Jeremy Chambers, rejeton des vignobles Chambers Rosewood, au travail comme saisonnier lorsqu’il était adolescent, puis étudiant en lettres à ...

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