Comme les thésards sérieux, Paolo Di Paolo cite ses sources à la fin du volume. 1) Son roman s’articule autour d’un fait divers. 2) Tout ce qui concerne l’actualité politique est documenté, puisque tiré des journaux et des revues qu’il consulte de façon systématique. 3) Son roman s’inspire d’une toile de Rauschenberg où les images et les objets les plus hétéroclites obéissent à une unité interne.
Le fait divers ? À la sortie du lycée où il enseignait, le professeur Mario Tramontane, à la retraite depuis peu, heurte en voiture, sans le blesser gravement, l’un de ses anciens élèves...
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