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« Nous vivons avant tout dans nos pensées »

Trois millions d’années séparent Lucy, la plus célèbre des hominidés, de la très actuelle Sara, paléontologue. Y a-t-il entre elles, en dehors du rapprochement scientifique, le plus infime point commun ? C’est l’une des nombreuses questions que pose le dernier roman de Cristina Comencini.

Dès la première page s’amorce une histoire dans l’histoire : Sara écrit une nouvelle, purement littéraire, fondée sur ses travaux de recherche : « Afrique, silhouettes lointaines autour d’un arbre, au crépuscule. Peut-on appeler femmes ces créatures d’à peine un mètre ? Yeux enfoncés toujours aux aguets, lèvres retroussées prêtes à crier. Mamelles poilues, d’où goutte le lait, ventres mal fermés par des nombrils élimés, certains encore tendus, d’autres flasques, vides depuis peu ». Des recherches comportant un travail sur le terrain, dans la lointaine vallée ...

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