Dans une interview avec Julio Lerner en 1977, Clarice Lispector définissait son écriture comme « chaotique, intense, complètement déconnectée de la réalité de la vie », ajoutant qu'elle avait commencé à écrire dans l’enfance, peu de temps après avoir appris à lire. C'est peut-être pour cette raison que l'écrivaine ne pouvait pas tolérer certaines analogies que les critiques avaient l'habitude d'établir, comme celle qui la rattachaient à l’existentialisme de Sartre. Se disant timide et courageuse à la fois, elle a souligné : « Je ...
« C’est un secret »
Article publié dans le n°1265 (26 mars 2025) de Quinzaines
La Ville assiégée
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