« Ciel noir, étoiles mortes » ou comment désespérer (sans faiblir) avec le genre policier…

« Le chaos, la déréliction des communautés et des sujets, la consommation et la schizophrénie, l’empire de la déréalisation médiatique […] conduisent alors à réenvisager le visage actuel du récit policier. » Ces propos de Denis Mellier ne désignent-ils pas la lecture du polar comme apprivoisement  du négatif et éveil à la noirceur, au sein de notre modernité ?

À l’heure où « sort la recluse » (Fred Vargas, Flammarion, 2017)…


À l’heure où Petros Markaris triomphe en Grèce avec sa tétralogie noire sur l’état du pays, entre suicide collectif et Aube dorée (Liquidations à la grecque, Le Justicier d’Athènes, Pain, éducation, liberté et Épilogue meurtrier)…


À l’heure où le fait divers horrible capillarise les romans criminels et récrit le Mal au feu de la forme (de Harold Cobert à Régis Jauffret et de Leila Slimani à Ivan Jablonka)…


À l’heure où, selon C. Jacomino, « les vestig...

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