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Croisements au bord du gouffre

« Sentiment de détresse absolue. Qu’est-ce qui te relie à ces corps solidement délimités, à ces corps parlants doués d’yeux qui clignotent, plus étroitement qu’à une chose quelconque, disons à ce porte-plume dans ta main ? Serait-ce le fait que tu es de la même espèce qu’eux ? Mais tu n’es pas de leur espèce, c’est bien pour cela que tu as soulevé la question. La solide délimitation des corps humains est horrible. » Kafka conclut ainsi la page de son journal du 30 octobre 1921.


Mieux que personne il savait ce que « seul… comme Franz Kafk...

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