A lire aussi

De Gaulle, du Mythe au Réel

    Le déluge de livres sur de Gaulle que nous subissons (avec intérêt) ce printemps a un grand mérite : de mettre en cause à la fois sa « sanctification » et sa « diabolisation ». Le rôle des intellectuels, en cette affaire, reste, modestement, d’essayer d’y voir clair.
François Mauriac
Claude Mauriac
Aimer De Gaulle (Grasset (Cahiers rouges))
Véronique Neau-Dufour
Yvonne De Gaulle (Fayard)
Frédéric Salat-Baroux
De Gaulle-Pétain, le destin, la blessure, la leçon (Robert Laffont)

Je tiens à préciser que je ne suis pas objectif, ayant été en prison quelques jours il y a bien longtemps, pour avoir critiqué (sans mesure) Pétain : au contraire, de Gaulle, je l’ai aimé, et l’aime encore comme on aime une femme, en voyant bien ses défauts. Ses conférences de presse m’enchantaient, il dégonflait toutes les sottises sur les malheurs français par des saillies vengeresses. J’aime mieux ces paroles vivantes que sa prose à la Chateaubriand, ou pire à la Hugo, qui sont loin du clavecin de Diderot, de la flûte traversière de La Fontaine, ou des fusées de Baudelaire, selon moi ...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi