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Des illusions à perdre

La révolution roumaine de 1989 est au cœur du roman d’Irina Teodorescu, mais elle en est la trame de fond, un prétexte. Le dictateur Ceaușescu n’est d’ailleurs jamais nommé. Le sujet y est un autre, parfois confus, qui se construit progressivement.
Irina Teodorescu
Ni poète ni animal

Trois voix assument successivement la narration, trois générations d’une même famille : la grand-mère Dani (à travers une série d’entretiens psychiatriques), la mère Em (à travers des transcriptions de cassettes non envoyées à une destinataire vivant à l’Ouest) et la jeune fille Carmen.


Le roman assume son inspiration autobiographique (l’une des narratrices a 10 ans en 1989, de même que l’auteure), mais des libertés sont prises, notamment sur le plan des noms. Le Grand Poète, présenté comme dissident, appelle la jeune Carmen « Ma Fugue » puis « Ma Fuite », faisant un symbole de s...

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