Né à Clermont-Ferrand en 1974, année de la révolution des Œillets, Valério Romãoa fait le choix de rentrer au Portugal dès son enfance. Poète, homme de théâtre, il est aussi traducteur (Virginia Woolf, Samuel Beckett, Michel Houellebecq). Son roman « Les Eaux de Joana », qui paraît le 19 septembre chez Chandeigne, est le second volet d’une trilogie ayant pour titre « Paternidades falhadas » (« Paternités ratées »).
Tigrane Yégavian : Les Eaux de Joana font partie du cycle des « Paternités ratées ». À quoi ont-elles donc failli ?
Valério Romão : Ce cycle de trois romans et d’un recueil de nouvelles (De la famille, Chandeigne, 2018) commence par Autisme (Chandeigne, 2016, finaliste du prix Femina étranger) et se clôt avec Cair para dentro (Tomber dedans, à paraître).
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