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Du côté de chez White

Vingt-cinq ans après la mort de Patrick White, Gallimard publie Le Jardin suspendu, roman posthume, inédit et inachevé que les ayants droit de l’unique Prix Nobel de littérature australien ont décidé de rendre public contre la volonté de l'auteur. Bien leur en a pris, car ce texte, premier volet d’un futur triptyque, se suffit amplement à lui-même et donne à lire une prose qui n’a rien perdu de sa modernité.

L’histoire commence pendant la Seconde Guerre mondiale, en Australie, avec l’arrivée d’Eirene Sklavos chez Mme Bulpit – une veuve qui possède une demeure entourée d’un immense jardin laissé à l’abandon –, où sa mère compte la mettre à l’abri du conflit. Le père d’Eirene, un partisan communiste grec, a été assassiné en prison avant la guerre, et sa mère a l’intention de repartir bientôt en Europe. Mme Bulpit héberge déjà un autre réfugié de guerre, Gilbert Horsfall, un garçon à peu près du même âge qu’Eirene, qui a fui Londres après que sa mère et son frère sont morts dans un bombardement...

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