Par son art et sa manière de se souvenir du cinéaste à l’ouvrage, Françoise Etchegaray a su recueillir une gerbe d’hommages qui possèdent l’instantanéité des photographies volées. Cette éphéméride inspirée n’est pas une histoire qui chercherait à comprendre, à analyser rétrospectivement une création continuelle qui garde tout son mystère, et elle ne fait pas un portrait figeant Rohmer en une statue prenant la pose pour la postérité. Elle convoque tour à tour « mille et un Rohmer » : la pluralité inhérente au devenir de chacun a été...
Du côté de chez Rohmer
Article publié dans le n°1227 (01 juin 2020) de Quinzaines
Contes des mille et un Rohmer
(Exils)
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