Son nom cristallisait aussi toutes les passions et les méandres de l’opinion publique face à la question des otages. Pourquoi tant de soucis de la France pour Ingrid Betancourt et si peu pour les otages « ordinaires » ? La question reste d’actualité. La presse française rappelle à juste titre les noms des journalistes français enlevés en Afghanistan depuis plus d’un an mais ne mentionne à peu près jamais celui de leurs « trois accompagnateurs » ! Le cas Ingrid Betancourt illustrait tous les enjeux des négociations avec les FARC. Négocier avec elle-même pour des raisons humanitaires, via ...
Ingrid Betancourt otage
Article publié dans le n°1033 (01 mars 2011) de Quinzaines
Même le silence a une fin
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