José del Prado : Vous avez déclaré ne pas préméditer vos histoires – pour vous, elles sont dues à un exercice presque inconscient –, mais à quel moment décidez-vous qu'elles peuvent avoir une valeur suffisante pour être publiées ?
Etgar Keret : C'est quelque chose contre quoi j'ai toujours lutté car je sais comment mes histoires m'affectent, mais pas comment elles affectent les autres. J'ai toujours été strict sur les choses que je publie dans mes collections d'histoires. Je publie environ un tiers d...
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