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José Mauro de Vasconcelos

Beaucoup ont été émus, voire bouleversés, à la lecture de Mon bel oranger (Meu Pé de Laranja Lima), qui révéla en France José Mauro de Vasconcelos (1920-1984). Ce livre, premier d’une trilogie en partie autobiographique que suivront Doidão et Allons réveiller le soleil (Vamos Aquecer o Sol), est tout à l’image de l’univers de l’auteur : d’un côté une grande souffrance, de l’autre une grande capacité à rêver pour essayer de s’en échapper.

À ma mère, qui m’a fait découvrir l’univers plein de tristesse et de bonté de José Mauro de Vasconcelos... 


La souffrance est grande et réelle dans les livres de l’écrivain brésilien. Souffrance des enfants abandonnés à eux-mêmes, souffrance de la pauvreté, la solitude, la maladie et la mort. Souffrance d’Eduardo, un enfant malade, dans le magnifique Voilier de cristal (O Veleiro de Cristal)[1]. Quant à Zezé, « c’est un enfant qui n’aurait pas dû souffrir ...

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