Tous les patchworks de l’Amérique racontent l’histoire d’une communauté, d’un peuple ou d’une famille, et celui-ci n’y fait pas exception, qui emprunte son titre à la dernière et la plus longue des nouvelles, inspirée d’une fête champêtre chez le peuple Crow, avec ses tipis, ses danses et son pain frit. La séquence fait insidieusement affleurer à deux frères la révélation d’une lointaine liaison de leur mère avec un bel Indien, omniprésent dans sa conscience effilochée mais toujours constellée du souvenir de sa nuit à la belle étoile. L’indicible et l’imprévu, l’énigme troublante, sont a...
La cabane du Montana
Article publié dans le n°1133 (01 août 2015) de Quinzaines
La fête des corbeaux
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