Dans L’Écoute-aux-portes (1995), Mine, alors qu’elle enfile sa chemise de nuit comme tous les soirs, se retrouve soudainement dans un pays inconnu, « vide, blanc et plat » : le passage de la tête à travers le vêtement a le pouvoir de transporter le personnage (mais s’agit-il d’un écureuil, d’un renard ou d’une loutre ?) dans un tout autre monde. Dans L’Arbre sans fin (1992), une interminable chute, qui rappelle nécessairement l’univers de Lewis Carroll, entraîne le personnage d’Hipollène à travers l’espace, et la fait rebondir entre les plan...
La venture de Claude Ponti
Article publié dans le n°1110 (01 août 2014) de Quinzaines
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