Après Le Comte de Monte-Cristo et Les Buddenbrook (1), pris respectivement comme supports pour mettre au jour les mécanismes de la confiance et du crédit dans les deux précédents volumes de cette trilogie, Jean-Michel Rey choisit d’étudier le roman d’Herman Melville intitulé The Confidence-Man (1857). Ce roman, traduit sous le titre L’Escroc à la confiance en français (et auquel s’ajoute un sous-titre : « Sa Mascarade »), offre en effet le récit d’une escroquerie efficace et renouvelée.
Sur un bateau à vapeur descendant le Missis...
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